Paris : Congrès de dissolution du PSU, Les archives du Parti socialiste unifié sont conservées aux, bureau national élu en 1965 : (18 membres), bureau national élu en 1967: 17 membres dont 12 nouveaux. Il participe notamment, avec la LCR, à la mobilisation contre la loi Debré de 1973 qui devait abréger le sursis accordé aux étudiants pour leur service militaire, puis, l'année suivante, à la fondation du groupe Information pour les droits du soldat, qui militait pour la création de syndicats dans l'armée. Le congrès se tient peu de temps après le départ d'une bonne partie de la direction nationale du parti, derrière Michel Rocard, pour rejoindre le Parti socialiste. «Le Parti du Congrès national est dissous» et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée «démantèlement du régime du 30 juin 1989» adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Il comprend Michel Rocard, secrétaire national, Daniel Frachon, trésorier, Jean Arthuys, Manuel Bridier, Robert Chapuis, Claude Dubois, Georges Gontcharoff, Jacques Kergoat, Henri Leclerc, Jacques Malterre et Jean-Marie Vincent. Noëlline Castagnez, Laurent Jalabert, Marc Lazar, Gilles Morin, Jean-François Sirinelli (dir.). Le congrès se déroule à nouveau dans un climat de crise interne. Serge Depaquit devient secrétaire national. Une troisième forme ce qui devient la Gauche Ouvrière et Paysanne puis l'Organisation communiste des travailleurs (créée en 1976), entre 1972 et 1974[15]. En juin 1967, la première mue du PSU porte Michel Rocard à la direction d'un parti d'où les anciens socialistes « réformistes » sont en voie de disparition. The Amtmann Circle was dissolved in 1989. The party was formally dissolved in March of 2002. Le Parlement est dissous en 1993, ce qui donne lieu à de nouvelles élections législatives. À part ces derniers, ces mouvements n'ont jamais atteint la taille critique nécessaire pour peser sur le débat à gauche comme avait pu le faire le PSU entre 1960 et 1969. (Photo d'archives) "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Huit (08) mois après sa chute, le parti de Oumar El Béchir vient d’être dissous par le gouvernement de transition soudanais, son régime démantelé. Le 1er juin 1969, Michel Rocard obtint 3,61 % des voix au premier tour de ces élections, score qui constitue le plus haut niveau d'influence du PSU au cours d'une élection présidentielle. Les dirigeants du nouveau parti d’opposition du Nouvel Avenir, qui était arrivé en troisième position aux dernières élections nationales, se sont engagés à poursuivre leur action en faveur d’un changement politique en Thaïlande, malgré la décision de la justice nationale de dissoudre leur parti et de leur interdire toute action politique durant dix ans. "Aucun symbole du régime ou du parti n'est autorisé à s'engager dans quelque activité politique que ce soit pendant dix ans", ajoute le texte. 3° dans le cas où, par son activité générale ou ses prises de positions publiques, un parti a gravement méconnu les obligations qui lui incombent en vertu de l’article 3 de la Loi n°89-36 du 12 octobre 1989 Ce syndicat étudiant participa en 1980 à la création de l'UNEF-ID. Le congrès débouche sur un Comité politique national sans majorité. Rude or colloquial translations are usually marked in red or orange. Tudi Kernalegenn (Rennes 1, CRAPE) et François Prigent (Rennes 2, CERHIO). Le Parti communiste (Komunistychna Partia Ukraïny - KPU) fut le parti unique en Ukraine, comme en URSS, jusqu'en 1989. Édouard Depreux, Souvenirs d'un militant, Fayard 1972, Robert Chéramy est par la suite l'un des principaux dirigeants, au titre de la majorité « autonomie », de la, Ibidem, page 106. Il comprend également d'anciens pivertistes, dont certains avaient milité au Parti socialiste ouvrier et paysan (PSOP) sous le Front populaire (1936-1938) (Colette Audry, etc.). Please report examples to be edited or not to be displayed. Jean Arthuys est responsable du service d'ordre. Le Congrès de la Courneuve (janvier 1977) voit s'affronter deux tendances, l'une, menée par le secrétaire du parti, Michel Mousel, préconisant la reconduction de listes communes de gauche pour les municipales de mars 1977 (le PSU ayant obtenu plusieurs élus aux précédentes municipales), tandis que l'autre, au sein de laquelle les militants de l'AMR sont particulièrement actifs, préconise une alliance avec le « groupe carrefour » de la LCR[19] (Robi Morder, François Morvan), voire avec l'Organisation communiste des travailleurs (le courant « mouvementiste »)[20]. C'est ce moment que choisit l'Alliance marxiste révolutionnaire (AMR), de tendance pabliste et libertaire, forte de 250 militants[17], pour fusionner dans le PSU, Gilbert Marquis ayant entamé des pourparlers dès la fin 1973[17]. Bernard Ravenel, chargé du secteur « éducation » est associé au bureau national. Le comité monétaire prévu au paragraphe 1 est dissous. Il est composé majoritairement de socialistes anti-colonialistes, qu'ils soient « révolutionnaires » ou « réformistes », partisans de l'Union de la gauche. Enfin, la tendance mendésiste, qui représente un bloc cohérent et réformiste, s'oppose au dogme marxiste de la lutte des classes et refuse l'appropriation collective des moyens de production, prônant un équilibre entre les secteurs privé et public[4] : dès le départ, le PSU apparaît comme regroupant des tendances très diverses, voire antagonistes, qui ne se rejoignent finalement que dans l'anti-gaullisme et l'anti-stalinisme. La réaction du parti de l’ancien Président soudanais ne s’est pas fait attendre. Au sein de la direction politique nationale, on trouve encore Claude Bourdet, Yvan Craipeau, Michel Fiant... - Congrès de Saint-Étienne (janvier 1979), La Direction politique nationale est composée en fonction du vote sur les deux textes généraux, mais aussi sur l'amendement au texte « majoritaire » présenté par les fédérations de l'Essonne et des Hauts-de-Seine, ainsi que de militants parisiens. Quelques mois plus tard (octobre), une fraction importante du PSU participe à une opération politique menée par le Parti socialiste (PS), les « Assises du socialisme » ayant pour but d'unifier les mouvements socialistes et sociaux-démocrates au sein du PS, derrière Mitterrand. En tant que seul grand parti autorisé, il joua en Allemagne de l'Est le rôle d'un parti unique, possédant le monopole de l'action politique au sein de ce pays. En novembre 1973, Robert Chapuis succède à Michel Rocard comme secrétaire national. Examples are used only to help you translate the word or expression searched in various contexts. Elles sont capables de détecter picomolar concentration-quest comme un comprimé de Tylenol, They are capable of detecting picomolar concentrations-that's like one Tylenol tablet, Les polymères électriquement conducteurs peuvent également être, The electrically conductive polymers can also be, Après la reddition du Japon, les Pacific Coast Militia Rangers furent, Having completed their duties, the RAP Forum was, Le cercle artistique L'Essor a été officiellement, The artistic circle l'Essor was officially. Enfin, une tendance « mouvementiste » obtient 20 % à Lille, et 16 % à Toulouse en décembre 1972[15] : elle s'organise autour de la Gauche ouvrière et paysanne (GOP) de Marc Heurgon, Alain Lipietz, Gustave Massiah, etc., avant de s'éclater en deux (Pour le communisme et, en 1974, le Parti d'unité populaire, qui créent la Gauche ouvrière prolétarienne)[15]. Le Parlement israélien s’est dissous, de nouvelles élections en mars. Une autre fraction, la Gauche révolutionnaire, rejoint en 1972 le Parti communiste marxiste-léniniste de France (PCMLF, « pro-chinois » maoïste)[15]. Omar el-Béchir, arrivé au pouvoir en 1989 par un coup d'Etat soutenu par les islamistes, a dirigé le Soudan d'une main de fer pendant 30 ans. Le congrès se tient après que le PSU a présenté la candidature d'Huguette Bouchardeau à l'élection présidentielle qui a vu le succès de François Mitterrand. 12 membres du courant A, dont Jean-Jacques Boislaroussie et Gabriel Granier. Huit (08) mois après sa chute, le parti de Oumar El Béchir vient d’être dissous par le gouvernement de transition soudanais, son régime démantelé. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. The party was formally dissolved in March of 2002. These examples may contain rude words based on your search. On trouve par ailleurs au Comité politique national Georges Gontcharoff, Jacques Kergoat, Marcel Pennetier, Pierre Stibbe, François Tanguy-Prigent, Jean Verlhac, Lucien Weitz... - Congrès de Paris (Maison des métallos, juin 1967). Un secrétariat de sept membres est désigné. Il s'est dissous en novembre 1989. Le Amtmann Circle a été dissous en 1989. 33 de la tendance menée par Michel Rocard, parmi lesquels, outre les membres du bureau, 9 de la tendance d'inspiration marxiste-léniniste, menée par Philippe Simon, parmi lesquels on trouve. Représentant à sa fondation la deuxième gauche, qui se situait politiquement entre la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO), d'inspiration socialiste, et le Parti communiste français (PCF), le PSU était proche politiquement du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste (CERES), fondé en 1966 et représentant l'aile gauche du Parti socialiste (PS) dans les années 1970. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. They are not selected or validated by us and can contain inappropriate terms or ideas. Derrière Edouard Depreux, secrétaire national, on trouve Gilles Martinet, secrétaire national adjoint, Jean Arthuys, trésorier, Pierre Bérégovoy, Marc Heurgon, Harris Puisais et Georges Servet. Malgré leur faible nombre, ils obtiennent des postes de responsabilité : Maurice Najman (fondateur des comités d'action lycéen pendant mai 68), Bernard Schalscha (implanté à Lyon depuis la création de l'AMR en 1969)[18], Gilbert Marquis (qui sera, avec Michel Fiant, membre du bureau national) et Michel Fiant prennent le contrôle de plusieurs régions[17]. Depuis, les différents partis doivent le plus souvent former des coalitions pour pouvoir gouverner. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. Celui-ci obtient 2,10 % des voix au premier tour[21]. Il permet de doter le parti d'une majorité. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Le PSU se scinde en novembre 1989, une partie de ses membres fusionne avec la Nouvelle gauche issue des comités de soutien à Pierre Juquin pour fonder l'Alternative rouge et verte (AREV), qui fusionne une nouvelle fois en 1998 avec une minorité de la Convention pour une alternative progressiste (CAP) pour devenir « les Alternatifs », tandis qu'une autre partie rejoint Les Verts où sont déjà entrés de nombreux anciens animateurs de la GOP (Gauche ouvrière et paysanne). Parti Dates Idéologie Remarque Parti de la vie roumaine (PVR) ... 1921-1989 Parti communiste de Roumanie (1921-1948) Parti … Jean Arthuys adhéra plus tardivement au PS à Savigny-sur-Orge où il fut un temps conseiller municipal. Journaux et manifestes. Le Parti socialiste unifié (PSU) était un parti politique français fondé le 3 avril 1960. Le PSA et l’UGS sont implantés sur l’ensemble du territoire et cette composante se retrouve dans les origines géographiques des membres du Comité politique national. Aux élections présidentielles de mai 1974, la gauche du parti soutient la candidature de Charles Piaget, le syndicaliste CFDT de Lip, mais Rocard réussi à obtenir une majorité de soutien pour la candidature unitaire de Mitterrand contre Giscard. Quatre ans plus tard, John Kenneth Galbraith publie Le Nouvel État industriel, best-seller économiste qui insiste sur le concept de « technostructure » pour expliquer les changements de la société industrielle. Le CPN est remplacé par une Direction politique nationale, composée de 39 membres. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Le Synaspismós était un début de réconciliation entre KKE et KKE de l'Intérieur dissident. Le CPN est ainsi constitué de : Un bureau national homogène de 9 membres est désigné. Le 26 avril 1981, Huguette Bouchardeau obtient 1,11 % des voix au premier tour de l’élection présidentielle, remportée au second tour par François Mitterrand (PS). Section française de l'Internationale ouvrière, Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste, Confédération française des travailleurs chrétiens, Confédération française démocratique du travail, appropriation collective des moyens de production, Union des clubs pour le renouveau de la gauche, Fédération de la gauche démocrate et socialiste, Parti communiste marxiste-léniniste de France, Convention pour une alternative progressiste, inspecteur général de l'Éducation nationale, Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, Le parti de Pierre Mendès France : du parti radical au PSU, International Institute of Social History, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Parti_socialiste_unifié_(France)&oldid=176548341, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 46 membres représentant la motion majoritaire, menée par, 9 membres représentant la motion minoritaire, soutenue par les proches de, La motion B, qui compte 26 élus. Parmi ceux-ci, outre les membres du bureau, on peut citer : André Barjonet, François Borella, Yvan Craipeau, Serge Mallet, Gustave Massiah, Michel Mousel et Pierre Naville. - Dissous en 1989 lors de son 18e et dernier congrès, il fusionne le 26 nov. 1989 avec la Nouvelle gauche pour former l'Alternative rouge et verte. C'est aussi en 1963 que Depreux et Rocard fixent une nouvelle ligne au parti, en l'adossant aux « couches nouvelles » (techniciens et cadres)[3]. Ils portent à la présidence du syndicat étudiant Jacques Sauvageot, qui aura un rôle de premier plan lors de mai 1968. En 1989, le KKE entra dans une large majorité de gauche, le Συνασπισμός της Αριστεράς και της Προόδου. Elapsed time: 216 ms. Word index: 1-300, 301-600, 601-900, More, Expression index: 1-400, 401-800, 801-1200, More, Phrase index: 1-400, 401-800, 801-1200, More. Le bureau national constitué en avril 1960[5] respecte la parité des fondateurs : Au comité politique national : Edouard Depreux parvient à être élu secrétaire général, soutenu par Gilles Martinet (secrétaire général adjoint de 1960 à 1967, il quitte le PSU en 1972) et Michel Rocard, qui isolent les anciens de la IVe République, Alain Savary et Charles Hernu, tandis que les trotskystes et les ex-communistes rechignent à s'allier, ce qui leur aurait donné la majorité[3]. C'est un secrétariat pluraliste de quatre membres, dont deux issues de la motion B (Edouard Depreux, secrétaire national, et Jean Verlhac) et deux de la motion C (Jean Poperen et Roland Florian). 9 novembre 2020 57 Il apparaît de manière claire et indiscutable que le Parti démocrate et son candidat, Joe Biden, ont monté un véritable coup d’Etat électoral, pour empêcher le peuple américain d’élire Donald Trump. Le Parlement dissous, le pays en route pour une 4e élection en deux ans Les élus israéliens avaient jusqu'à mardi 23H59 locales (21H59 GMT) pour adopter un budget.© Alex KOLOMIENSKY / POOL / AFP Alain Savary s'en va, créant l'Union des clubs pour le renouveau de la gauche, qui s'allie avec la FGDS de Mitterrand, ainsi que Charles Hernu[3]. Une nouvelle Constitution a été adoptée en 1980. Le PSU naît le 3 avril 1960 d'un double mouvement d'opposition : opposition à la guerre d'Algérie et opposition au soutien de la SFIO au « coup d'État » gaulliste de 1958, ce qui avait conduit à la constitution du cartel de l'Union des forces démocratiques rassemblant en particulier le Parti socialiste autonome (PSA) et l'Union de la gauche socialiste, deux composantes principales du PSU. sept membres du courant 4, dont Jean-Claude Le Scornet, pour les départements plutôt UGS, signalons la Moselle ou la Meurthe-et-Moselle (, enfin, il y aurait des départements mixtes où les leaders locaux se sont impliqués en faveur de l’union et donc de l’efficacité, comme ce fut le cas en Haute Garonne grâce à l’action conjointe de. Le courant mendésiste, dans lequel Pierre Bérégovoy joue un rôle central, prend cependant de l'ampleur, ayant permis l'élection de la nouvelle majorité aux congrès de 1963, ce qui permet à Mendès-France de s'impliquer davantage dans le parti[4]. Le bureau politique compte 17 membres, dont les six membres du secrétariat national (Huguette Bouchardeau, réélue secrétaire nationale, Serge Depaquit, Bernard Ravenel, Jacques Arnol, Jean-Jacques Mabila, Jacques Salvator), ainsi que Christian Caroz, Monique Gresset, Jacques Laïk, Dominique Lambert, Marie-Pascale Lauret, Victor Leduc, Jean-Pierre Malplat, Arnaud Massip, Marie Relandeau, Arthur Riedacker et M.Sonder). Le PSU, qui comprend dès son origine des minorités se revendiquant d'un marxisme révolutionnaire, du luxemburgisme ou du trotskisme, évolue en s'amoindrissant, surtout après mai 1968, pour devenir un parti contestataire et auto-gestionnaire se situant hors du champ parlementaire. En 1863, ce corps est dissous et Moody retourne en Angleterre. Exact: 439. Contre la décision du parti, celui qui avait été le porte-parole du PSU lors de la campagne s'était adjoint un membre de la SFIO, et non de la FGDS[4]. Suites aux événements d'octobre 1988, une réforme constitutionnelle en 1989 a ouvert le système politique vers le multipartisme. Le PSU est formellement dissous le 7 avril 1990 par 91 % des militants[22]. L'adhésion de Pierre Mendès France au PSA avait même suspendu les négociations de fusion entre l'UGS et le PSA, ceux-là (ainsi qu'une partie de ceux-ci) estimant que les mendésistes du Centre d'action démocratique étaient plus libéraux que réellement socialistes : vieil héritage de la méfiance envers les radicaux « petits-bourgeois ». Entrent donc Gérard Akoun, Christian Berger, François Dalbert, Gilbert Hercet et Bernard Lechelon. Cette initiative a été soutenue par l'Institut Édouard Depreux, l'Association des Amis de Victor et Paule Fay, ainsi que par 540 anciens militants du PSU. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. En 1972, le PSU ne signe pas le programme commun de la gauche (juin 1972), estimant que ce programme n'est pas assez autogestionnaire, et ne peut pas « ouvrir la voie au socialisme »[16]. Les instances nationales dont donc largement renouvelée. Le parcours politique de ces hommes – seule une femme siège dans cette instance, Mireille Osmin, issue de la SFIO et du PSA – est très divers. Le parti est officiellement dissous en mars 2002. Après les élections générales de mars 1973, le Congrès bicaméral avait été dissous à la suite du coup d'Etat militaire en septembre de la même année. Crise au Soudan - Le parti de Béchir dissous, son régime "démantelé" Home > Toute l'actualité en direct > Belgique et monde - 29-11-2019 à 01:28 - Belga Lecture 2 min. Marc Heurgon s'appuie sur des chiffres précis pour parler de « fable du parti de 30 000 membres ». Le bureau national, pluraliste, compte lui 15 membres soit, en plus du secrétariat national, Claude Bourdet, Richard Dartigues, Guy Desson, Henri Longeot, Michel Lucas, Serge Mallet, Jean Poperen et Georges Servet. Ainsi alors qu'Édouard Depreux annonçait 20 000 membres issus du Pari socialiste autonome, l'apport réel de ceux-ci « [devait] tourner autour de 9 000 ». "Aucun symbole du régime ou du parti n'est autorisé à s'engager dans quelque activité politique que ce soit pendant dix ans", ajoute le texte. Parmi les 55 membres du comité politique national[8], constitué selon la même parité affichée, figurent 25 anciens du Parti socialiste autonome, 25 anciens de l'UGS et 5 sympathisants de Tribune du communisme. Huguette Bouchardeau a rejoint en mars 1983 le gouvernement, contre l'avis du bureau politique. Le congrès est marqué par l'entrée dans les instances dirigeants de Michel Rocard, sous le pseudonyme de Georges Servet. Le Parlement israélien s’est dissous, de nouvelles élections en mars. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte.