«,La zizanie qui règne atteint son paroxysme quand l’un des proches de Robert Herbin, Me André Buffard, fait fuiter des informations qui précipitent l’ASSE dans la rubrique faits divers : le 1er avril 1982, Loire Matin publie les premières révélations de ce qui deviendra,Pour Philippe Gastal, le décès en 1977 de Charles Paret, «,Depuis son retour parmi l’élite en 2004, l’ASSE s’est fait des frayeurs deux années de suite mais a repris des couleurs ces dernières années. La situation est plus contrastée en championnat. Quand les Verts atteignent une première fois les quarts de finale de la compétition lors de la saison 1974-1975, c’est un véritable événement : il s’agit effectivement d’une première depuis le Stade de Reims… douze ans plus tôt. Qui viendrait saluer des perdants ? Que dire de l’exercice 1973-1974, conclu sur un doublé coupe-championnat flamboyant (huit points d’avance sur le FC Nantes) ? Comme la cote d’amour de Raymond Poulidor, l’éternel second, reste supérieure à celle d’un Jacques Anquetil quintuple vainqueur du Tour de France, l’aura des Stéphanois ne s’est pas étiolée avec le temps. En revanche, ils explosent au stade des quarts de finale en Coupe UEFA, étrillés deux saisons de suite à ce stade de la compétition par le Borussia Mönchengladbach (1-4, 2-0) puis par Ipswich Town (1-4, 3-1).Après le dixième titre de champion décroché en 1981 et le début de l’exercice suivant, qui voit Christian Lopez et les siens faire la course en tête, l’ASSE semble démarrer un nouveau cycle de succès. Si l… A une époque où l’argent pèse lourd dans la réussite sportive, le budget stéphanois ne permet pas d’envisager dans l’immédiat un retour au premier plan sur l’échiquier européen. La suite, c’est Jacques Vendroux qui la décrit au micro de France Inter.Galvanisés, les Stéphanois refont leur retard grâce à un coup franc de Jean-Michel Larqué et accrochent la prolongation. A la 83e, Robert Herbin fait enfin entrer Dominique Rocheteau. Glascow 1976. Un sacré test : les Ecossais survolent leur championnat et ont, comme le Bayern Munich ou le Sporting Portugal, remporté la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe (1969). Soutenus par un stade plein (la billetterie a reçu 100 000 demande de billets), les joueurs de Robert Herbin accusent toujours deux buts de retard quand Oleg Blokhine profite d’une contre-attaque pour semer ses gardes du corps et s’en aller défier Ivan Curkovic. Au-delà de la double confrontation face au Sporting Portugal (2-0, 1-1), autre vainqueur de la Coupe des coupes (1964), le tournant intervient en 8e de finale. Plein axe, Dominique Bathenay élimine plusieurs adversaires avant de décocher une frappe puissante qui vient s’écraser sur la transversale. Comme face à Split, l’ASSE vient de boucler un incroyable scénario (.Comme on ne change pas une formule qui gagne, Robert Herbin, Jean-Michel Larqué et Ivan Curkovic vont superviser le PSV avant la demi-finale qui les oppose. Ils ne seront pas champions d’Europe. «,Outre la qualité du Dynamo Kiev, l’ASSE doit composer avec les aléas. Les joueurs stéphanois, eux, ont gagné le Royaume-Uni dès le lundi après un dernier entraînement électrique. «,Les Français quittent la pelouse malheureux et en pleurs, à l’image de Jacques Santini. Raté. A savoir, par ordre alphabétique, Christian Lopez, Alain Merchadier, Patrick Revelli, Christian Sarramagna, Jacques Santini et Christian Synaeghel. A défaut de remporter le trophée, ils ont gagné à jamais le cœur des Français. «.Orpheline de ses enfants, l’AS Saint-Etienne entre dans une nouvelle ère. A l’aller, les Stéphanois assurent l’essentiel : ils ne prennent pas de but, sauvés par leur gardien et son poteau, et trouvent même l’ouverture grâce à Dominique Bathenay. Avec brio puisqu’il repousse tout (.A Eindhoven, Roger Rocher a entamé des pas de danse sur la piste de l’aéroport. Si la famille Guichard, propriétaire du groupe Casino, crée officiellement l’.De nouveau aux commandes, Pierre Guichard mise sur deux hommes pour pérenniser l’institution : Charles Paret, responsable logistique et transport chez Casino, qui va s’imposer comme l’un des meilleurs connaisseurs de la réglementation du football professionnel jusqu’à son décès en 1977 ; Jean Snella, ancien joueur du club et à ce moment-là entraîneur de la réserve. Le 12 mai 1976, 25 000 supporters venus de toute la France avaient envahi Glasgow pour assister à la malédiction des poteaux carrés, et à la défaite de Saint-Étienne face au Bayern (0-1). Il reprend de la tête le centre de Patrick Revelli, mais le ballon flirte avec le mauvaise côté du poteau allemand. La stabilité des actionnaires (Bernard Caïazzo et Roland Romeyer) et de l’entraîneur - Christophe Galtier est premier technicien à rester en place aussi longtemps depuis Robert Herbin – porte ses fruits. Un gardien ainsi qu’un un défenseur central de qualité et expérimentés. «,Surtout, l’ASSE a enfin remporté un trophée, une Coupe de la Ligue, en 2013. La naissance de la fameuse légende des poteaux carrés. «,Robert Herbin goûte peu aux longues causeries. Deux succès sans gros souci (,Au deuxième tour, l’ASSE se voit opposée aux Glasgow Rangers, son premier adversaire sur la scène continentale, en 1957. Entre 1967 et 1970, les Verts enchaînent effectivement quatre titres de champion (record qui a tenu jusqu’aux sept succès du voisin lyonnais entre 2002 et 2008) agrémentés des Coupes de France 1968 et 1970.L’année suivante, ils sont même tout proches d’étirer leur série. A l’occasion du 40e anniversaire de cet événement, retour sur l’épopée des Verts, de sa genèse aux turbulences que le club a commencé à traverser quelques années après.Le retour au vestiaire est difficile. Et quand, en plus, la rencontre en question voit des Français renverser des montagnes… Tous les ingrédients sont réunis pour séduire l'Hexagone entier voire même au-delà.Comprendre les succès stéphanois des années 70 exige de remonter le temps. Frustrés, abattus et battus. Un moindre mal. A une époque où les écrans de télévision se propagent dans les foyers hexagonaux, il n’est pas encore possible de regarder du football chaque soir ou presque. Le même qu’à Glasgow, les poteaux carrés en moins. Pourtant, la légende est en marche. Dominique Bathenay déboule côté droit, repique dans l’axe pour se mettre sur son pied gauche et inscrire le but du break (,Avant leurs retrouvailles, les Britanniques promettent l’enfer aux Stéphanois : huit ans plus tôt, le voisin et rival du Celtic a montré la voie en étrillant (4-0) les Frenchies après s’être inclinés 2-0 à l’aller. Au retour, cet avantage s’envole dès la 2e minute lorsque Kevin Keegan inscrit un but aussi magnifique qu’improbable. Leaders du championnat, les Verts l’emportent à Strasbourg (2-0) avant d’accueillir le Nîmes Olympique. Les larges succès face au voisin lyonnais (4-0), aux Girondins de Bordeaux (5-0) ou au FC Metz (9-2) le laissent penser. De quoi ouvrir une nouvelle ère, alors que l’ombre des anciens Verts a longtemps plané sur Geoffroy-Guichard, certains ayant même occupé des fonctions à l’intérieur du club (Robert Herbin est revenu entraîner à deux reprises, responsabilité qu’ont tour à tour exercé Christian Sarramagna, Jacques Santini, Dominique Bathenay et Pierre Répellini). «,Bien que marqués par l’issue de cette finale, les joueurs de Robert Herbin acceptent de répondre aux journalistes. L’ambiance est plombée dès le retour à Saint-Etienne : des supporters surexcités sont venus fêter le retour de l’équipe et la cohue tourne au drame quand une hélice de l’avion décapite l’un d’entre eux. Certains sont sceptiques sur l’animation née de l’imagination de leur ami journaliste Jacques Vendroux. Si les scores ne sont pas flamboyants (même scénario face au CSKA Sofia et contre le PSV Eindhoven : 1-0 à domicile, 0-0 à l’extérieur), le résultat est là avec un nouveau quart de finale continental. Certains visages sont tournés vers le sol ; d’autres, humidifiés par les larmes. Et c’est avec 45 minutes de retard qu’ils rejoignent le président Giscard d’Estaing. C’est lui qui inscrit le troisième but, après un numéro de soliste réussi par Patrick Revelli sur l’aile droite. En début de partie, il rate le ballon sur une sortie aérienne, mais pas Ralf Edström, qui prend son point en pleine figure. Associer des cadres comme Georges Bereta et Jean-Michel Larqué à de jeunes joueurs formés au club en s’appuyant sur l’ossature de l’équipe vainqueur de la Gambardella en 1970. Sa seule requête en matière de recrutement ? Garceran, Maillard (,Griffoni, Arpinon, Gauthier, Moreira, Canetti, Grasset, Le Boedec, Mazauric, Riefa, Giudicelli, Pellecuer (,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Larios (,Szeja, Boulard, Denis, Noel, Roque, Cuperly, Hallet, Mésonès, Bocquet, Szlyko, Truffaut,Curkovic, Janvion, Lopez, Merchadier, Farison (,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay (,Szeja, Boulard, Denis, Noel, Roque, Cuperly, Hallet (,Gili, Amouret, Polny, Trezeguet, Vitulin, Bianchi, Carrié, Poli, Bourrebou, Horlaville, Pena,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Larqué, Rocheteau, Revelli P., Sarramagna,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Repellini, Bathenay, Santini, Larqué, Rocheteau, Revelli P., Sarramagna,Curkovic, Janvion, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Repellini, Rocheteau (,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Bathenay, Santini, Repellini, Revelli P (,Rust, Dufour, Seles, Wassmer, Posca, Djaadaoui (,Bertrand-Demanes, Denoueix, Rio, Michel, Bossis, Muller, Tusseau, Sahnoun, Baronchelli, Pecout, Amisse,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Lacuesta, Revelli P., Revelli H, Larios,Curkovic, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Santini (,Bertrand-Demanes, Denoueix, Rio, Michel, Bossis, Muller (.Curkovic ©, Merchadier, Lopez, Piazza, Farison, Janvion, Bathenay, Rocheteau, Revelli P., Revelli H.Laudu, Masclaux ©, Dubouil, Durand, Buisset, Polaniok (,Filipov, Kolev, Stankov, Denev, Vasilev, Rangelov,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez, Farison, Synaeghel, Bathenay, Larqué, Revelli P., Rocheteau,Filipov, Kolev, Stankov, Dimitrov, Denev (,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez Farison, Bathenay, Synaeghel, Santini, Revelli P. , Rocheteau, Larios (,Curkovic, Janvion, Piazza, Lopez, Farison , Bathenay, Synaeghel, Santini, Rocheteau, Revelli P. (,Clemence, Hughes, Jones, Neal, Thompson, Case, Kennedy, McDermott, Toshack (,Clemence, Hughes, Jones, Neal, Smith, Case, Kennedy, Toshack (.La dernière modification de cette page a été faite le 17 avril 2020 à 01:13. Larqué, lui-même directeur sportif dans les années 90, veut y croire : «,Un avis que ne partage pas Christian Lopez : «,Difficile de le contredire. En revanche, ils doivent se contenter de la 5e place en championnat, leur pire classement depuis cinq ans. «,L’ASSE mène 3-1 à l’entrée du dernier quart d’heure lorsque son entraîneur procède à un remplacement gagnant : trois minutes après son entrée en jeu à la place de Pierre Répellini, Yves Triantafilos remet les compteurs à égalité d’un maître coup franc avant de marquer le but de la qualification durant la,Gérard Farison, qui vit aujourd’hui à Saint-Raphaël, impute cette performance à la stabilité de l’effectif. Là encore, des Stéphanois pestent, arguant que les Allemands ont joué avant le coup de sifflet de l’arbitre, tandis que leur dernier rempart plaçait son mur…,Qu’importe, il faut courir après le score. Invités à l’Elysée, les Verts doivent d’abord descendre les Champs-Elysées. Dans un bourbier, les Verts s’enlisent et concèdent deux buts malgré le soutien de 1 200 supporters qui ont fait le long déplacement. Son président, lui, n’en démord pas. Ne manque que la locomotive pour lancer définitivement l’ASSE sur les bons rails. Le club a bouclé les trois derniers championnats dans le top 5 avec à chaque fois une qualification européenne. Si Ray Kennedy trompe Ivan Curkovic, les Français restent qualifiés au bénéfice du but inscrit à l’extérieur. Il faut toutefois patienter près d’un mois jusqu’au 12 mai et la saison continue. La qualité de l’effectif, reconduit à l’identique, l’expérience accumulée et les structures du club sont autant d’arguments en leur faveur. Par deux fois, les poteaux carrés d’Hampden Park viennent de repousser les espoirs stéphanois en même temps qu’ils ont lancé un débat qui n’a, aujourd’hui encore, pas trouvé sa conclusion : que se serait-il passé si l’enceinte écossaise avait été dotée, comme la plupart des autres stades, de montants circulaires ? Cette locomotive, c’est Roger Rocher, qui va s’attacher à structurer le club comme une entreprise, avec différents services. Son remplaçant, Stewart Kennedy, s’incline sur une volée de Patrick Revelli en première période, puis à la toute fin du temps réglementaire. « Je ne vous demande qu’une seule chose, dit-il en substance à ses hommes. Le 12 mai, l'AS Saint-Étienne et le Bayern Munich s'affrontent en finale de la coupe d'Europe des Clubs Champions. Entre 1963 et janvier 1983, ils ne sont que trois à s'asseoir sur le banc et chacun apporte sa pierre à l’édifice : Jean Snella (1963-1967), de retour d’une expérience au Servette Genève, Albert Batteux (1967-1972) et surtout Robert Herbin (1972- janvier 1983). A l’été 1975, pour la reprise de l’entraînement, il tient un discours simple. “Roby”, 33 ans, accepte de tirer un trait sur sa carrière de joueur pour relever le défi. Comme les autres clubs français, Georges Bereta et ses coéquipiers n’ont guère brillé jusque-là sur la scène continentale. Le premier souhaite surfer sur la 3e place obtenue en 1979 et favoriser l’émergence d’une nouvelle génération de talents formés au club (Jean-François Larios, Laurent Roussey, Laurent Paganelli, etc.). Les joueurs, qui avaient prévu de fêter leur qualification, s’en vont profondément marqués par ce qu’ils viennent de vivre.La qualification en poche, le Peuple vert est en ébullition. Résultats et statistiques de la saison 1976-1977 de l'AS Saint-Étienne - ASSE Stats tous sur l'AS Saint-Étienne : Foot ASSE, mercato ASSE. Installés dans le ventre mou du classement, les Gardois font preuve d’un engagement physique dont les Vert paient le prix fort : deux titulaires indiscutables, le latéral Gérard Farison et le milieu Christian Synaeghel, doivent faire une croix sur la finale.En France, c’est l’effervescence à l’approche de l’événement et.A Glasgow, le Peuple vert est accueilli en toute amitié par les locaux, qui ont choisi leur camp. Un Bayern vainqueur d’une rencontre qui a fait polémique, un an plus tôt en finale de cette même C1, face à un Leeds United qui avait pour capitaine l’Ecossais Billy Bremner. Mais ne fait pas mouche. «.Le retour, justement, a façonné la légende verte. Dominique Bathenay déclare ainsi : Â«.Malgré la défaite, le retour en France est grandiose. «,Au-delà des lignes d’un palmarès qu’elle a largement enrichi, la génération 76 a sans doute laissé comme plus bel héritage,Georges Bereta, transféré contre son gré à l’Olympique de Marseille,le tube de Monty Allez les Verts tourne en boucle,Yves Mourousi présente même un journal télévisé,celle entre Michel Platini, justement, et Jean-François Larios.s’en prend violemment à Pierre Garonnaire.l’immense Cette soirée du 12 mai 1976 s’achève de la pire des façons pour les footballeurs de l’AS Saint-Etienne. ... Photo de l'équipe de l'ASSE saison 1975-1976. Sous sa présidence, l’innovation est multiple : déplacements en avion plutôt qu’en train pour une meilleure récupération des joueurs, création d’une véritable structure médicale, ouverture d’un centre de formation dès 1968 ou encore développement du merchandising jusqu’à l’ouverture d’une première boutique en 1977.Roger Rocher s’illustre également par des choix d’entraîneurs judicieux. Sentant dans son dos le retour de Christian Lopez, le Ballon d’or en titre préfère ralentir sa course pour un ultime dribble au lieu de tenter sa chance. C’est sans compter sur l’Olympique de Marseille de l’ambitieux président Leclerc, qui veut s’emparer du trône et décide pour cela de débaucher des éléments clés de son rival. Son projet ? Une ère qui va voir émerger des tensions irréversibles entre Robert Herbin et Roger Rocher. Et ce n’est pas l’équipe de France, incapable de se qualifier pour les Coupes du monde 1970 et 1974 ou le Championnat d’Europe 1972, qui relève le niveau. En six participations à la Coupe d’Europe des clubs champions, ils n’ont passé le premier tour qu’à deux reprises… La belle remontée de 1969 face au Bayern Munich (0-2, 3-0), vainqueur de la Coupe d’Europe des vainqueurs de coupe deux ans avant, est restée sans lendemain.Le début de la campagne 1974-1975 s’avère encourageant. Palmarès de l'ASSE en Compétitions Nationales,Palmarès de l'ASSE en Compétitions Internationales.Âge moyen des joueurs en début de saison :AS Saint-Étienne - Stade rennais FC Samedi 26 septembre 2020,FC Nantes - AS Saint-Étienne Dimanche 20 septembre 2020 (2 - 2),La saison 1976-1977 de l'AS Saint-Étienne,AS Saint-Étienne - Stade de Reims Samedi 18 juin 1977 (2 - 1) Parc des Princes,AS Saint-Étienne - US Valenciennes-Anzin Mercredi 8 juin 1977 (5 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,FC Nantes - AS Saint-Étienne Samedi 11 juin 1977 (3 - 0) Stade Marcel-Saupin,Coupe de France - Demi finale Aller - 1976-1977,FC Sochaux-Montbéliard - AS Saint-Étienne Samedi 5 février 1977 (4 - 0) Stade Auguste-Bonal,AS Saint-Étienne - FC Nantes Mardi 14 juin 1977 (5 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,AS Saint-Étienne - AS Nancy-Lorraine Samedi 4 juin 1977 (3 - 2) Stade Geoffroy-Guichard,FC Nantes - AS Saint-Étienne Mercredi 1 juin 1977 (3 - 0) Stade Marcel-Saupin,AS Saint-Étienne - Stade lavallois Vendredi 27 mai 1977 (3 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,RC Lens - AS Saint-Étienne Samedi 21 mai 1977 (1 - 1) Stade Félix-Bollaert,AS Saint-Étienne - FC Sochaux-Montbéliard Mardi 17 mai 1977 (3 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe de France - Quart de finale Retour -,FC Sochaux-Montbéliard - AS Saint-Étienne Jeudi 12 mai 1977 (1 - 1) Stade Auguste-Bonal,Coupe de France - Quart de finale Aller -,AS Saint-Étienne - FC Girondins de Bordeaux Samedi 7 mai 1977 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,OGC Nice - AS Saint-Étienne Mardi 3 mai 1977 (2 - 0) Stade du Ray,AS Saint-Étienne - Stade de Reims Jeudi 28 avril 1977 (0 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Nîmes Olympique - AS Saint-Étienne Samedi 16 avril 1977 (1 - 1) Stade Jean-Bouin,AS Saint-Étienne - FC Rouen Mardi 12 avril 1977 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe de France - 8ème de finale Retour -,FC Rouen - AS Saint-Étienne Samedi 9 avril 1977 (1 - 1) Stade Robert-Diochon,AS Saint-Étienne - Angers SCO Samedi 2 avril 1977 (1 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,Olympique lyonnais - AS Saint-Étienne Mercredi 23 mars 1977 (0 - 2) Stade Gerland,AS Saint-Étienne - AJ Auxerre Samedi 19 mars 1977 (3 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe de France - 16ème de finale Retour -,Liverpool FC - AS Saint-Étienne Mercredi 16 mars 1977 (3 - 1) Anfield,Coupe des clubs champions européens - Quart de finale Retour -,AJ Auxerre - AS Saint-Étienne Samedi 12 mars 1977 (0 - 0) Stade de l'Abbé-Deschamps,Coupe de France - 16ème de finale Aller -,AS Saint-Étienne - Paris SG Samedi 5 mars 1977 (1 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,AS Saint-Étienne - Liverpool FC Mercredi 2 mars 1977 (1 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe des clubs champions européens - Quart de finale Aller -,Stade rennais FC - AS Saint-Étienne Samedi 26 février 1977 (0 - 1) Stade de la Route de Lorient,AS Saint-Étienne - LOSC Lille Vendredi 18 février 1977 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Olympique d'Alès - AS Saint-Étienne Samedi 12 février 1977 (0 - 2) Stadium,AS Saint-Étienne - Troyes AF Dimanche 30 janvier 1977 (4 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,AS Saint-Étienne - SEC Bastia Dimanche 23 janvier 1977 (2 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,AS Saint-Étienne - Olympique de Marseille Samedi 15 janvier 1977 (4 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,FC Metz - AS Saint-Étienne Samedi 8 janvier 1977 (0 - 0) Stade Saint-Symphorien,AS Nancy-Lorraine - AS Saint-Étienne Samedi 18 décembre 1976 (2 - 0) Stade Marcel-Picot,AS Saint-Étienne - FC Nantes Dimanche 12 décembre 1976 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Stade lavallois - AS Saint-Étienne Samedi 4 décembre 1976 (3 - 1) Stade Francis Le Basser,AS Saint-Étienne - RC Lens Samedi 27 novembre 1976 (3 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,FC Girondins de Bordeaux - AS Saint-Étienne Samedi 20 novembre 1976 (2 - 0) Parc Lescure,AS Saint-Étienne - OGC Nice Mercredi 10 novembre 1976 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Stade de Reims - AS Saint-Étienne Samedi 6 novembre 1976 (2 - 2) Stade Auguste-Delaune,PSV Eindhoven - AS Saint-Étienne Mercredi 3 novembre 1976 (0 - 0) Philips Stadion,Coupe des clubs champions européens - 8ème de finale Retour -,AS Saint-Étienne - Nîmes Olympique Vendredi 29 octobre 1976 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Angers SCO - AS Saint-Étienne Samedi 23 octobre 1976 (4 - 2) Stade Jean-Bouin,AS Saint-Étienne - PSV Eindhoven Mercredi 20 octobre 1976 (1 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe des clubs champions européens - 8ème de finale Aller -,AS Saint-Étienne - Olympique lyonnais Vendredi 15 octobre 1976 (1 - 1) Stade Geoffroy-Guichard,Paris SG - AS Saint-Étienne Samedi 2 octobre 1976 (2 - 0) Parc des Princes,AS Saint-Étienne - CSKA Sofia Mercredi 29 septembre 1976 (1 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Coupe des clubs champions européens - 16ème de finale Retour -,AS Saint-Étienne - Stade rennais FC Vendredi 24 septembre 1976 (4 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,LOSC Lille - AS Saint-Étienne Samedi 18 septembre 1976 (1 - 0) Stade Grimonprez-Jooris,CSKA Sofia - AS Saint-Étienne Mercredi 15 septembre 1976 (0 - 0) Balgarska Armia,Coupe des clubs champions européens - 16ème de finale Aller -,AS Saint-Étienne - FC Sochaux-Montbéliard Vendredi 10 septembre 1976 (2 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,Troyes AF - AS Saint-Étienne Mardi 7 septembre 1976 (0 - 0) Stade de l'Aube,SEC Bastia - AS Saint-Étienne Vendredi 27 août 1976 (1 - 1) Stade Armand-Cesari,Olympique de Marseille - AS Saint-Étienne Mercredi 18 août 1976 (1 - 0) Stade Vélodrome,AS Saint-Étienne - FC Metz Vendredi 13 août 1976 (0 - 0) Stade Geoffroy-Guichard,US Valenciennes-Anzin - AS Saint-Étienne Vendredi 6 août 1976 (1 - 1) Stade Nungesser,AS Saint-Étienne - RSC Anderlecht Mercredi 1 décembre 1976 (0 - 0) Parc des Princes,Prochain match contre le Stade rennais FC le Samedi 26 septembre 2020 à 17h,Match nul des verts en Ligue 1 contre le FC Nantes (2 - 2),Départ en prêt de Assane Dioussé (MKE Ankaragücü),Départ de Yann M'Vila (Olympiakos Le Pirée),Victoire de la réserve en National 3 contre le Montluçon Football (3 - 0),Victoire des féminines en Division 2 contre le FF Nîmes Métropole Gard (3 - 0),Départ en prêt de Benjamin Karamoko (Aalesunds FK),Départ de Steed Malbranque (FC Limonest Saint-Didier-au-Mont-d'Or).Changement de logo pour Bordeaux et Reims !Départ en prêt de Alexandros Katranis (Hatayspor),Départ de Mevlüt Erding (Fatih Karagümrük SK).